Pages blanches au coeur numérique
je vous gribouille
je vous souille
j’aime à vous voir entravées
…
Je me souviens qu’à 17 ans, au centre du petit jardin du 7 rue de Navarre à Pau, j’ai eu un échange solaire.
Je reprochais au soleil de me brûler, malgré ses gentilles apparences qui finalement me mette à mort par combustion lente mais efficace, soutenue, quotidienne.
Je lui soutins alors ce langage : »Tu me brûles. Pour s’opposer à ton supplice je vais moi-aussi te brûler ».
Du coup j’actionnais la petite flamme intérieure, personnelle, précieuse, afin de contrecarrer les rayons du soleil, tel un pare-feu créé par un autre feu.
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